A propos

C’est qui cette fille ?

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Salut, moi c’est Floriane. Suis Autrice et animatrice d’ateliers d’écriture dans l’association Les art’eliers à Toulouse. J’ai aussi un travail, un amoureux, des amis et un chat à temps plein.

Je suis une amoureuse des mots et de la vie. Du bleu aussi. Celui de l’océan et du ciel. De ceux qui cognent l’âme. De la délicatesse et de la fragilité des myosotis. Sinon, j’adore manger, voyager et la psy ! Entre autres.

Je suis sensible et je suis une vraie slasheuse. J’aimerai tout voir, comprendre, savoir et j’ai 1000 envies à la minute. J’aimerai voyager partout, avoir un piano de cuisson et que la vie ne se monnaye pas pour qu’on puisse vivre tranquille de ce qui nous plaît.

J’adore écrire ! Enfant, déjà, j’écrivais. Des poèmes, des histoires, des rédactions et des pièces de théâtre. Ça s’est essoufflé, quand à l’école il a fallu choisir dans le livre des métiers ce qu’il fallait faire plus tard. Moi la contemplative, j’ai laissé de côté le plan « Rêveuse », parce que ça ne rentrait pas dans les modalités d’un plan de carrière. J’ai continué de chercher ce que je voulais faire quand je serai grande. Mais l’écriture a toujours été là. En loucedé, un peu.

Plus tard, j’ai poussé la porte d’ateliers d’écriture. J’ai commencé à écrire ma life, un roman, des nouvelles. À remplir des carnets et des frises sur les murs de mon salon. J’ai rencontré des belles âmes. L’écriture, a repris de la place, beaucoup. J’ai renoué avec ma petite fille rêveuse. Et j’ai réécrit, passionnément.

Aujourd’hui, j’anime des ateliers d’écriture pour faire écrire, donner ce souffle que j’ai ressenti. Faire prendre conscience de ton potentiel et de ta plume.

Thèmes de prédilection : liberté – créativité – écriture de soi – poésie – imaginaire

Il n’y a pas une bonne façon d’écrire. Il y a la sienne, son envie d’explorer, de sentir des sentiers battus, de progresser, d’apprendre des techniques. Ecrire un roman ou les 3 kiffs du jours. Sa vie entière ou faire du journaling. Faire des dictées, se performer ou laisser la prose se disperser.

Floriane